Bonduelle épluche les clichés

Nourrir une nouvelle vision de l’alimentation végétale
Bonduelle casse les clichés sur les légumes et lance une campagne de communication pour accompagner la transition vers une alimentation plus végétale.
70 % des Français sont flexitariens, parfois sans le savoir, mais moins de 1 sur 3 associe légumes et plaisir.
Bien manger aujourd’hui, c’est manger flexitarien, plus sain, plus local, moins transformé, et c’est aussi – et cela doit rester – se faire plaisir !
A travers cette exposition “Bonduelle épluche les clichés”, nous avons souhaité explorer les imaginaires à défendre pour entraîner ce point de bascule vers plus de végétal dans les assiettes du quotidien. Chaque temps fort démontre qu’il est non seulement souhaitable de transformer nos habitudes tant pour la planète que pour l’humain et sa santé, et qu’il est possible de le faire en toute simplicité, sans renoncer à la gourmandise et à la convivialité qui sont au coeur de notre culture alimentaire.
Bonne visite !

La transition vers une alimentation plus végétale gagnerait-elle progressivement son momentum ?
Chez Bonduelle, nous le pensons, mais nous mesurons aussi le chemin qu’il reste à parcourir dans nos sociétés où les produits carnés ont encore une place centrale dans les assiettes. La transformation est dans l’ADN du Groupe Bonduelle depuis 170 ans et nous la poursuivons aujourd’hui pour que l’entreprise puisse accomplir pleinement sa mission : inspirer une alimentation plus végétale, aussi saine que savoureuse, partout dans le monde !
Moderniser la marque Bonduelle, marque iconique omniprésente dans les foyers Français mais également dans de nombreux autres pays, est un pilier de cette transformation.
En nous appuyant sur notre ancrage agricole, nos savoir-faire industriels au coeur des champs, et notre culture d’entreprise profondément humaine, Bonduelle continue d’innover pour accompagner et accélérer cette nécessaire et joyeuse transition.
Xavier UNKOVIC
Directeur général du Groupe Bonduelle
Grand classique, révolution pop ou art brut ? Un peu des trois pour les légumes en conserve. Inventée au 18e siècle, la méthode de l’appertisation préserve naturellement les légumes, en utilisant des principes physiques et la chaleur. Simple et basique ! L’une des plus grandes révolutions de notre alimentation moderne est aujourd’hui un procédé parfaitement maîtrisé et surtout naturel : n’en déplaise à la rumeur, les conserves ne contiennent aucun conservateur !



Peut-être par un glissement de vocabulaire involontaire ? Mystère. Car depuis le 18e siècle, le procédé de fabrication des conserves suffit à lui seul pour préserver les légumes et toutes leurs qualités nutritionnelles. C’est simple : il n’y a pas de conservateurs dans les conserves, parce qu’elles n’en ont tout bonnement pas besoin !
La conserve est née d’une technique découverte par Nicolas Appert en 1795 : lorsque les légumes sont placés dans un récipient étanche puis stérilisés grâce à la chaleur (à 100°C), ils se conservent parfaitement, et pour longtemps.
La conserve, révolutionnaire à son origine, est devenue une technique classique qui a continué à évolué. Aujourd'hui la stérilisation est brève et intense pour préserver les qualités nutritionnelles et gustatives. La conserve est pratique, accessible, économe en ressources et recyclable : elle coche toutes les cases d'une technologie d'avenir !

Ceci est une conserve
L’article 2 du décret n°55-241 du 10 février 1955 donne une définition très précise de la conserve. Il s’agit d’une denrée périssable dont la conservation est assurée par l’emploi combiné de deux techniques :
- un conditionnement étanche,
- un traitement par la chaleur pour détruire ou inhiber totalement les micro-organismes ou les enzymes qui pourraient rendre la denrée impropre à la consommation.
Autrement dit, une conserve se suffit à elle-même. Pas besoin de conservateurs quand la science et la chaleur font tout le travail.
Qu’est-ce qui est aussi frais qu’un haricot vert récolté à pleine maturité et cuisiné quelques heures après ? Réponse : un haricot vert en conserve, ou surgelé ! Ses qualités nutritionnelles sont préservées, et il est disponible de janvier à décembre ! En effet, les légumes en conserve et surgelés amènent la fraîcheur dans les placards, pour tous, tous les jours, toute l'année .



Si 81 % des Français perçoivent les légumes en conserve ou les surgelés comme naturels, tout le monde ne sait pas que lorsqu’ils arrivent dans l’assiette, leurs qualités nutritionnelles sont équivalentes à celle de légumes achetés frais et conservés quelques jours chez soi.
C’est pourtant bien le cas !
Les légumes en conserve, et surgelés, sont cultivés en plein champ, récoltés à maturité et préparés rapidement (6h pour les petits pois, 8h pour les haricots verts) pour préserver leur fraîcheur et saveur. Un délai imbattable, même à la maison !
Les légumes en conserve ou surgelés ont leurs qualités nutritionnelles préservées. Selon une étude de l'INRA, ils contiennent même plus de micronutriments que les légumes frais récoltés trop tôt. Autre avantage : ils sont accessibles toute l'année, dans les justes quantités, et sont utilisés par 95% des Français !

Procédés précis, fraîcheur garantie
- Pour préserver les vitamines B9 et les minéraux des légumineuses comme le haricot rouge, Bonduelle utilise un processus qui permet de les récolter frais et d’éviter les opérations de trempage.
- Avec une cuisson vapeur des légumes, Bonduelle limite les pertes en vitamines B9 et en potassium.
- Le saviez-vous ? Pour récolter un petit pois à pleine maturité, tout peut se jouer en moins de 24h en cas de forte chaleur. Avec des installations au coeur des champs,la réactivité est idéale pour une qualité toujours maximale.
7 Français sur 10 seraient déjà engagés dans une démarche flexitarienne. Moins de viande, plus de diversité dans l’assiette : serions-nous au début d’une révolution culturelle ? Chiche ? Pour que ce changement prenne vraiment racine, il reste un défi : faire une vraie place aux protéines végétales. D’autant qu’elles ont tout bon dans une alimentation saine, diversifiée… et toujours gourmande !



En France, 65 % des apports en protéines sont encore d’origine animale. Nous consommons globalement déjà trop de protéines, pas assez de fibres : 72% des adultes ne mangent pas assez de fruits et légumes, 85% pas assez de légumes secs et 90% pas assez de fibres.
Les légumineuses sont une excellente source de protéines végétales, riches en fibres, minéraux et vitamines, sans acides gras saturés. On les trouve dans les céréales complètes, les légumineuses (petits pois, haricots, lentilles...) et les oléagineux (noix, amandes...). Elles offrent un apport en énergie constant grâce à leur indice glycémique faible.
Adopter un régime flexitarien, c’est élargir sa palette alimentaire, sans forcément abandonner les protéines animales. Ne rien exclure, mais au contraire inclure bien davantage d’options, et varier les plaisirs. D’autant que cette diversité, c’est avant tout un enjeu de santé : l’alimentation est le premier facteur de risque comme de protection face à de nombreuses maladies.

Les légumes secs à table
Santé Publique France recommande de consommer des légumineuses comme les légumes secs deux fois par semaine, dans le cadre d’une alimentation équilibrée. Si on peut reprocher aux légumes secs un temps de préparation souvent long, avec les lentilles, les pois chiches, les haricots blancs ou rouges en conserve, terminées les opérations de trempage ! Les légumes secs sont encore plus faciles à intégrer dans des recettes savoureuses et colorées !
L’alimentation représente 25 % de l’empreinte carbone d’un individu. Végétaliser nos assiettes fait partie des leviers d’action les plus accessibles à l’échelle de chaque individu pour réduire globalement l’impact carbone. Et c’est même un calcul gagnant sur tous les autres plans importants, comme la santé ou le budget.



La planète a atteint ses limites : notre modèle alimentaire actuel représente un tiers des émissions mondiales de gaz à effet de serre. Modifier notre alimentation est indispensable pour préserver l’avenir, et pour nourrir une population mondiale de 10 milliards d’individus en 2050.
Adopter le flexitarisme, c'est manger 80% de végétal et au moins 25% de légumes. Pas simple, mais tout bon : 38% d'émissions de CO2 en moins et un coût hebdomadaire réduit de 21% (de 187 à 147€). Un choix sain et éco-responsable, sans sacrifier le plaisir !
Un panier flexitarien, en résumé c'est : moins de viande (4 repas/semaine), plus de légumes et céréales (+95%), moins de produits gras/salés/sucrés (-70%) et des produits complets à la place des raffinés. Tout est une question d’habitudes et de réflexes à transformer pour gagner sur tous les plans : santé, budget et environnement !

Trop cher le bon végétal ? En voilà une drôle d’idée. Avec un prix moyen de 2,25 euros pour une boîte familiale, les légumes en conserve sont une façon très abordable de bien manger. D’ailleurs, 57 % des Français placent le prix comme deuxième critère de choix des légumes en conserve ou surgelé, juste derrière le choix… du légume !



Moins de 45 centimes la portion de petits pois carottes, qui dit mieux ? Les Français ne s’y trompent pas puisque la quasi-totalité des foyers a acheté des conserves de légumes en 2023 (98 %), pour un budget moyen de 2,25 euros le kilo, toutes variétés confondues, et 3,04 euros en moyenne pour les légumes surgelés.
Les produits préparés (conserve, surgelé) ont de nombreux atouts budget : prix au kilo accessible, pas de perte ni gaspillage, et portions adaptées pour consommer juste ce qu'il faut.
Manger mieux ne coûte pas plus cher ! Remplacer viande et produits gras par des légumes et légumes secs fait baisser le budget alimentaire de 21% (de 187€ à 147€/semaine). Les lentilles et pois chiches sont des alliés économiques et riches en protéines, surtout quand les prix de la viande flambent !
Des recettes gourmandes et simples à 2 euros par portion
Quelques idées simples mais délicieuses à 2 euros par personne et rapide à préparer ? C’est possible !
Une boîte Bonduelle de pois chiche ou bien de haricot rouge, un peu de fromage frais, d’huile d’olive et de jus de citron, mixez, c’est prêt ! Avec quelques tartines, c’est parfait pour un plateau télé !
Une belle idée ! 4 pains pita, une boîte de Croustis surgelés Bonduelle original Butternut, un avocat, un yaourt grec et un soupçon de mayonnaise. 12 minutes au four pour les Croustis, un peu de découpe et c’est parti !
Il met toute la famille d’accord : pain de mie, une barquette de Coleslaw Bonduelle, 4 tranches de cheddar, un rien de moutarde et d’huile d’olive : toastez le pain, garnissez et réchauffez au four quelques minutes, il ne reste qu’à servir le tout sur un lit de jeune pousse.
Éplucher, couper, blanchir, tremper, cuire, c’est souvent ce qui freine l’envie de préparer les légumes et les légumes secs. Quand ils sont prêts à l’emploi, quel immense gain de temps et d’énergie ! Avec toutes ces étapes déjà franchies, les légumes préparés apportent la praticité en cuisine et laissent toute sa place à la créativité.



Une grande majorité de Français passe moins d’une heure par semaine à cuisiner. Une raison pour bouder le végétal ? Pas forcément ! Les gammes prêtes à l’emploi s’adaptent à nos quotidiens et nos envies.
Les légumes préparés (conserve, surgelés, frais) sont idéaux pour un repas rapide et équilibré. Déjà épluchés, blanchis et cuits, ils sont prêts à l'emploi. Les légumes secs en conserve ou surgelés sont également faciles à utiliser, sans trempage ni cuisson longue.
Les gammes prêtes à l’emploi Bonduelle se sont élargies et diversifiées : recette plus élaborées, généreuses et gourmandes, elles sont des alliées indispensables pour plus de végétal malin. Avec les Lunch Bowl, les poêlées, mais aussi les galettes, les Croustis, les purées de légumes prêtes à réchauffer, les salades au rayon frais, ce sont des dizaines de recettes hautes en couleur et prêtes en quelques minutes à découvrir.

Pratique et malin, la cuisine de demain
- Plus de végétal, moins de temps en cuisine.
- Facile à portionner pour moins gaspiller.
- Une conservation longue durée, en toute naturalité.
- Une alimentation plus saine, sans déséquilibrer le budget.
- Les légumes préparés rendent le végétal plus évident que jamais !
75% des consommateurs recherchent du plaisir dans leur alimentation. Et ce plaisir passe par la diversité sensorielle : couleurs, goûts, textures, les légumes sont une source infinie de variations ! 75 % de l’alimentation s’appuie aujourd’hui sur seulement 12 espèces de plantes et cinq espèces animales.



Pour twister les assiettes toute l’année, Bonduelle cultive 500 variétés et propose plus de 30 légumes et légumes secs dans ses produits prêts à l’emploi : poivron, haricot rouge ou blanc, petit pois, mais aussi aubergine, chou fleur, céleri, salsifi, maïs, épinard… Explosion de couleurs pour les yeux, de croquant, de fondant, de piquant pour les papilles.
Comme pour l'art, le goût s'éduque ! Il faut être exposé 8 fois à un aliment pour l'apprécier. Varier les recettes et modes de préparation, c'est redécouvrir les légumes et se faire plaisir en retrouvant des saveurs oubliées, comme le maïs en tortilla ou en salade.
Le plaisir alimentaire dépend aussi beaucoup de notre culture et de nos représentations. L’enjeu d’une alimentation plus végétale passe nécessairement par les imaginaires : alors cassons les clichés et réveillons les papilles, pour renverser joyeusement la table !

Un mot-clé : diversité
S’il ne fallait retenir qu’une seule idée clé, c’est celle de la diversité dans l’assiette : toujours des céréales, toujours des végétaux, et des sources de protéines qui varient, entre oléagineux, légumes secs, fromage, et pourquoi pas un peu de viande de temps à autre. C’est tout l’intérêt du régime flexitarien : il n’exclut rien, il inclut davantage d’options, pour plus de saveur, plus de bien-être, et moins d’impact sur la planète.