Le monde d'aujourd'hui n'a rien à voir avec celui d'il y a un siècle, mais il y a des choses qui n'ont visiblement pas bougé d'un pouce. Comme la relation compliquée des petits avec les légumes !
Car notre grand-mère n'était pas non plus fana des haricots à 8 ans, si on en croit les souvenirs qu'elle partage avec nous !
Il y a comme ça des casse-tête qui semblent exister depuis des générations, pour lesquels personne n'a encore trouvé la solution.
À moins que ?
La Fondation Louis Bonduelle s'est fixé un objectif depuis ses débuts : sceller la paix entre les légumes et les enfants.
En pratique, cela donne des actions menées un peu partout dans le monde et déjà de beaux résultats !
Mieux connaître les légumes
Aimer les légumes, cela passe d'abord bien souvent par une meilleure connaissance des légumes. C'est logique, l'inconnu fait toujours un peu peur, mais, de près, les légumes ne sont pas si terrifiants.
Alors place à des actions dans les écoles pour faire sortir les légumes de l'ombre !
En Russie, la fondation a accompagné plus de mille écoles, de Moscou à Volgograd avec des programmes ludiques et interactifs pour mieux comprendre les légumes.
Jouer avec les légumes
Pas dans l'assiette non, nous sommes d'accord !
Mais avant, avec un jeu interactif, qui permet de faire pousser son potager étape par étape... Ça se passe en Italie avec l'action Il Gioco di inOrto , l'une des plus anciennes de la fondation. En se familiarisant avec les légumes, on est déjà en train de les apprivoiser, et plus susceptible de les aimer...
Ça se passe à l'école ? Non, encore mieux : dans des magasins Ikea, des jardineries ou d'autres commerces...pendant que les parents font les courses !
Devenir un expert
Pour les petits, la fierté de savoir des choses que tout le monde ne sait pas est immense. Surtout quand elle fait avancer le monde dans le bon sens.
L'action italienne Il Gioco di inOrto s'est développée avec un nouveau jeu orienté sur le gaspillage : apprendre à utiliser les fleurs de courgettes et pas uniquement le légume, à jeter les épluchures au compost, etc.
On a la preuve que ça marche ?
Oui ! L'expérience nous le dit, mais il faut encore apporter des preuves chiffrées pour convaincre.
La Fondation Louis Bonduelle a donc décidé de mesurer le lien entre des ateliers (cuisine, potager, etc.) et la consommation de légumes chez les enfants d'école primaire. C'est le projet Epicalim.
Les premiers résultats sont arrivés, et les premières observations sont déjà très encourageantes...
Ils sont à nos côtés sur ces projets : le Research Institute of Hygiene pour les interventions scolaires en Russie, le musée du Légume d'Avignon pour le projet Epicalim.
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